Une fois qu’on a fait le tour des entrepôts de données juridiques présents (ou non) sur le web ou plus ou moins directement disponibles pour être utilisés par des professionnels du droit, il est naturel de se poser la question essentielle : que fait-on de tout ça ?
En dépassant les débats intellectuels sur la qualification, l’étendue, l’accès libre ou non, etc. de ces données, arrivent les problèmes matériels, non seulement du stockage (et de la pérennisation/sécurisation) de